Des journées qui comme des années,
Défilant d'étoiles sur nous les damnés,
Des matins très tôt et de perles d'eau,
Des rosées de fleurs vers le Très-Haut.

Les caravanes roulent sur ces traces,
Le voyage se poursuit et ils trépassent,
Ces proches qui sont moins proches d'ici,
L'histoire se poursuit ainsi c'est le récit.

Ils viennent et restent le temps nécessaire,
Ils se font de plus en plus rare ces sincères,
Je n'ai que souvenirs d'eux, ils sont d'anges,
Privilège précieux et le manque qui dérange.

Et,

Dans le noir du sombre de nos peines,
On aimerait que tombent nos chaines,
Le poids de ne plus les avoir à nos côtés,
Et autant la légèreté d'encore y penser.

On continue de les aimer d'une force vive,
Ils ne sont plus, mais nos pensées récidivent,
Et nos souvenirs aux portes qu'ils frappent,
Ouvrent dure nostalgie qui encore nous sape.

Car ils nous manquent...

LeCrieur...

Ils nous manquent Allan mais reviennent souvent nous voir
Sur notre épaule posés tel un ensencoir
Et du doux sourire qu'ils nous donnent
Fait que l'on dépose une larme pour leur personne
À nos chers nos anges au Très haut
Merci d'avoir écrit ce beau cadeau
Bises Allan

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Amicalement Alanna

un cri de nostalgie pour saluer la vie

merci pour ce superbe et touchant poème
ils nous manquent bien sûr
Denise

une belle et douce nostalgie au travers de tes mots

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Nostalgie...

Merci pour vos commentaires...

Beau et touchant...
Amitiés
Célia

Nostalgie, oui beaucoup nous manquent.

Claude

Un bel écrit plein de nostalgie

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@ textes protégés

Belle émotion posée sur tes mots

Ils nous manquent mais tant qu'on les a dans le coeur, ils restent à nos côtés

Amitiés LeCrieur

Ghis

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