C'est comme décider de ne plus voler,
Mais se jeter à l'eau pour être mouillé,
Et vouloir nager comme tous les autres,
Se perdre de raison malgré les nôtres.
...
Se donner au-delà des frontières, y croire,
Pour se remettre à soi et enfin s’asseoir,
Regarder le monde, d'un regard innocent,
Admirer ceux qui nous aiment, nos parents...

Combien de temps vais je encore de moi?
J'ai tant prié Dieu, écoute t'il ma petite foi?
Il exaucera un jour ma prière, oui je le sais,
Quand arrivera enfin ce jour tant souhaité?

Il viendra de loin là où sont passées les heures,
Je ne vis plus depuis des années et de peur,
Je pars d'ici, mais je reste de là-bas et à jamais,
Ainsi pour toujours je ne cesserai de l'aimer...

Ce monde de là-bas....

LeCrieur...

Le monde de l'ailleurs
Nous apporte le meilleur
Les prières s'ecoutent les unes les autres
Pour se rencontrer en harmonie
Là bas
Bises Allan

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Amicalement Alanna

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

le monde du souvenir
s'accroche au partir
interrogeant le temps
qui s'écoule lentement

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Geneviève

Des occurrences étranges du point de vue syntaxique qui assignent une allure d'inquiétante étrangeté au poème.
Richards.

Merci pour vos commentaires...

Mes amitiés...

LeCrieur...

***DAN***......Texte profond.....J'aime...

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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***