L’horizon caresse les ombres de la nuit Vertigineuse envie de quitter mon corps L’horizon se repaît des ombres de la nuit Enfin ma vie quitte les amarres du port
Sans envie du lendemain je ferme mon cœur Dur comme le sable sous la meule je survis De mes noires envies. Comme la flamme jaune pâleur L’ombre de mes ombres gougera le bois verni