La vieille dame était partie ailleurs,
juste avant le crépuscule,
loin de ses volets décorés d'un cœur
et de sa chère pendule.

Elle abandonnait tous ses souvenirs,
dans la maison de ses parents,
les peines, les joies et les rires,
la naissance de ses enfants.

Ses pas l'avaient menée au cimetière
pour un adieu à son mari,
dans un chuchotement de prières,
émaillées de pleurs infinis.

D'affectueux bisous l'avaient apaisée,
ceux de ses amis de toujours,
venues encore une fois l'embrasser
au calvaire du carrefour.

Son chien fidèle aboyait à la mort
le départ de sa maîtresse,
réclamant déjà depuis l'aurore
la poursuite des caresses.

douloureux et triste ce poème, mais réaliste
bonne journée
Denise

Un bel au-revoir émouvant à cette dame .

Bonsoir Linette, émouvant poème

Amicalement

Bonsoir.

J'ai caressé la vie comme sa peau était douce.

Je te souhaite une excellente soirée.

Je vous embrasse.

Pascal

C'est très émouvant, merci du partage

Emouvant poème, le chien fidèle pleure ses maitres disparus.

Amicalement

Jean-Pierre

de l' attachement émouvant

triste réalité mais pourquoi n'a t'elle pas pensé à son chien
sa fidélité l'aurait aidée à continuer son chemin

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Geneviève

Au revoir très émouvant, exprimé avec beaucoup de pudeur.

Claude

Merci pour cet adieu si émouvant ! un message plein d'amour c'est très beau

Luz

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Les gens vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir... Et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu.
Le DalaÏ Lama

Nul ne peut atteindre l'aube sans passer par le chemin de la nuit… Khalil Gibran

parce qu'elle ne pouvait pas l'emmener où elle allait.

Merci

amicalement

Linegtte