Saudade, je me souviens du vent des îles,
Des brumes parfumées aux fleurs de tiaré,
Saudade, mon cœur s'ennuie du bruit des villes,
De cet air vicié qu'il nous faut respirer.

Je ne peux oublier les lagons bleus de ciel,
Que sillonnent sans fin les piroguiers rieurs,
Le joyeux paille en queue et la frégate belle,
Qui s'amusent des vents au jardin de mon cœur.

Moana ton regard ne quitte pas la vague,
Qui doucement taquine l'ambre de ta main,
Tu rêves, tu souris, et ton esprit divague,
Vers la toile pourprée d'un tableau de Gauguin.

Jolie sirène ton ciel est plein d'étoiles,
De rêves murmurés à l'ombre des farés,
Tu observes la mer pour y trouver la voile,
De celui qui viendra te chérir à jamais.

Saudade, je m'envole au bout de l'océan,
Sur les ailes dorées d'un goéland sacré,
Je suis libre, libre comme un poisson d'argent,
Libéré à jamais des villes empoisonnées.

Bel hommage à une île fort beau partage j'ai aimé ma lecture amicalement bonne journée...

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Magnifique

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Belle mélancolie, la diva aux pieds nus n'est pas loin.

Amicalement

Jean-Pierre

Bonsoir shangaan

Une île qui offre le dépaysement, une beauté de paysage que l'on a envie de découvrir, un beau souvenir pour vous, là où voile de liberté et d'amour voguer sous le vent.

Amicalement Franie

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un magnifique homme cher ami

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Lire, c’est rencontrer du monde, au plus profond de soi.

Ces iles sont des joyaux que l'on ne peut oublier !!

Comme une nostalgie extrême
j'aime

si belles souvenirs