Bonjour chère amie de poésie,
Ton poème a ce mystère de fragilité qu'à su lui conserver quelques pétales de fleurs d'églantiers
accrochées à son mur de pierres....Sais-tu que c'est le nom que j'ai donné à mon blog ? ( sourire).
J'ai visité un peu la forêt ce Week-End pour mieux les voir ces dernières fleurs d'espoir offertes
aux sous-bois du mois de Mai !
Il y a toujours un "mais" quelque part qui éclos dans une fleur d'églantier.
Je t'embrasse douce amie de poésie.
J'écoute au loin l'oiseau chanter et son chant est aussi pur que cette fleur tendre et sauvage
que je suis, entre mes doigts, en train de faire tournoyer.....Vois-tu ?
Il faudrait dire au vent qu'il cesse un peu de souffler de son mistral trop grand !
Merci pour ce beau poème.
Ma tendresse.
Aïna/Arwen.
Je t'envoie mon oiseau de poésie pour te dire : " Merci ".