Je suis le poteau qui se tient,
Devant toi, l'asphalte qu'écrase le véhicule,
Le bruit du scooter qui s'en vient.
De l'univers nous sommes des particules.

Tu es la colombe qui plane
A l'ombre de toi-même, des platanes,
Tu es la colère qui habite mon coeur.
Thût est un, mille et une couleurs.

Je suis le chat perché, la source tarie,
Les vagues grondantes où s'évanouit
La conscience dans un ensemble éclatant.
Elle est la trinité incarnée, sexuée et vivant.

Au bord d'un canal, parapet de l'enclume,
Filles et garçons font lever ma plume
Et dans un souffle d'espace-temps
Disparaît la noirceur des maux d'antan.

Belle harmonie dont j'ai apprécié le surréalisme .
HONORE

Une harmonie qui invite à la réflexion .

j'ai aimé ma lecture
amitiés

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EvE-LyNe