Attends et je te raconte ce que s’est passé
La maladie a frappé et a éclaboussé mon chassé
Je me suis retrouvé dans un monde étrange
Plein de phénomènes des démons des mensonges
Amère comme une sentence de mort d’auguste
Mes yeux ne voient plus ni le faux ni le juste
J’étais lasse triste fatiguée et ma langue trébuchée
Sèche comme une buche trouée comme un pot de ruche
Je vivais avec les morts et les crocs morts
La diligence de répartition de mort a fait un temps en or
Quelle me lause tranquille cette fois-ci
Quelle s’occupent des éléphants et les faucilles
Moi je n'ai jamais vécu depuis naguère
Mon pays vivait souvent les guerres
Laisse-moi naitre et vivre et viens après toi la mort
Et prends le port et l’âme de mon corps
Maintenant laisse-moi que je me renforce
Pour les beaux yeux je dois prendre des forces
Je dois subvenir à tant de besoin de soleil
Les multi couleurs qui ornent le fond d’œil
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les années de disette dictent les poètes