Jusqu’au tremblement /




Il sent le lieu de sa chemise de Nuit déchirée
Où vagabonde une senteur de sa robe froissée
Où retrouver le souvenir d’un parfum disparu
Qui frappe ses papilles jusqu’au tremblement
Et là, sous les volutes d’une fumée translucide
Sous ce brouillard teinté il s’égare, hallucine
Ses lèvres explosent comme autrefois /

Elle n’est plus qu’un rêve solitaire
Un être spectral dont il ne reste que le nom
Qu’il marmonne dans son chant de deuil
Respiration agonique qui lutte contre la vie
Transpiration d’une sueur mélancolique
En regardant une dernière fois ses reliques /

Se souvient-il de lui avec elle ou d’elle ? //

J'ai savouré ce texte enivrant jusqu'au tremblement!

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Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée
Et je ne suis plus le naufragé!
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Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!

bonjour, très beau poème

mes amitiés

quand il ne reste que* le souvenir*
on doit , toujours, le chérir
comme un précieux butin
a Veiller, dans ce coeur* écrin..*

bonsoir poète.

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l'Amour rayonne quand l'Ame s'élève, citation maryjo

que de reliques
oui
bellement dit
je souris
b soirée

Merci Richard de cette magnifique lecture très émouvante! Bravo

Bonne nuit
Amicalement
Isabelle <:-)