MON CĹ’UR
Mon cœur ne peut-il pas s’offrir d’autres voyages
Visiter d’autres ports découvrir d’autres plages
Serait-il prisonnier d’une ferme dorée
Ou chaque paysanne voudrait l’accaparer
Mon cœur surfe longtemps sur ces vagues profondes
Lames bordées de houle, mer que l’écume inonde
Jusqu’à ce qu’il s’échoue sur les sables brulants
Des merveilleux rivages qui bordent l’océan.
Mon cœur tu souffres encor’ de la fin des histoires
Tu te retrouves seul, tu ne veux pas y croire
Et ces battements d’ailes d’oiseaux sur le départ
Te laissent à penser qu’il est déjà trop tard
Mon cœur si convivial, ouvert et solidaire
Après trop d’aventure, tu finis solitaire
Tu vois la liberté a aussi ses limites
A trop les transgresser on se retrouve ermite.
ALTOFE
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