Au gré du vent...
Tel une feuille fragile
flottant au gré du ruisseau
mon cœur trouve asile
Ă la surface de tes mots
Goûter à ta peau, encore une fois
Et tant de saveurs que je devine
Serrant doucement tes p’tits doigts
Je me sens d’humeur câline
Ta beauté n’a rien de légendaire
Et loin des choses futiles
Elle m’apparaît si familière
Depuis ces mois qui défilent
Mon ĂŞtre en Ă©bullition
Semble perdre haleine
Et m’invite à l’action
Considérant tes plaines
Chérie, j’te kiff à mort
Cà ne se dit sûrement pas
Mais devant une cité d’or
Mon Ă©moi ne faiblit pas
Envie de te couvrir
De toute mon affection
Laisser vivre mon désir
Devant si belle exposition
Le temps peut sembler parfois long
A l’échelle d’une vie
Mais n’avoir aucune limite à l’horizon
Depuis qu’il nous unit
Bzh-angel
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« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. »
de Mark Twain