Et toute la langue paralysée / et sèche/ Et la peur de la chair qui tremble sous La peau froide/ humide comme si Le souffle était vent de la mort/
Pérenne est cette avidité de Toi/ Te vouloir Toi/ et non le monde/ ni le ciel Ni rien d’autre que Toi qui est monde et ciel Autosuffisance de tes yeux circulaires/
Viendra de l’extérieur/ ce qui est en Toi/ Une Joie qui mettra à mort la mort/ Car/ Tu ne peux détruire ce qui consolide Ce que nous sommes/ nous à nous mêmes//