Je sens que j’ai pour toi
L’amour au bout des doigts
quand libre et légère
tu parcours mes chairs
Je veux te voir crier ton plaisir
Tes murmures, tes soupirs
chaque minute qui passe
sous ma passion qui t’embrasse
je laisse ma plume me porter
et mon cupidon planer
naviguant entre les flèches
qu’il te lance telles des flammèches
Je suis lĂ et bien vivant
A profiter des bons moments
Te couvrant en Romeo
D’amour plus qu’il n’en faut
Parcours d’ ombres subtiles
Oubliant les bruits de la ville
Remplacés par mots et caresses
Epousant tes contours de déesse
Ta peau couleur caramel
Révèle un gout d’éternel
Sublimant le nuage
Dont ma vie est le sillage
Entourée de mystère
Et sans préliminaires
Tu navigues sans phare
Sur ma peau, dans le noir
Je réalise ma chance,
ce bonheur en abondance
qui récolte dans mon poème
les sentiments que l’on s’aime
BREIZHANGEL
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« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. »
de Mark Twain