Un cœur ainsi bien ouvert,
Assis sur le grand des verts,
Des pensées livrées entières,
Envolées en légères prières.

Ce monde bleu tout entier,
L’amour qui est son métier,
Aux sauf des esprits anéantis,
Aux berges de confiance trahis.

Les larmes, elles dégoulinent,
Sur les frêles petites mines,
Les bras croisés sont le signe,
Que froid jeté est aux indignes.

J’ai cru encore aux vieux sages,
Mais je n’obéis qu’aux images,
J’ai tant marché sur les vagues,
Pour toujours ignorer les bagues…

Liberté et chagrin sont de raison,
Un grand mélange vif de saisons,
Le prix au bonheur qui se paye,
Se priver et le pur qui se délaye.

LeCrieur...

Bonjour LeCrieur, un poème très intéressant de par son approche philosophique et de par sa structure combinant éléments de l univers et interrogations sur le sens de la destinée .

fiuuu
un sacré cri!!
merci du partage
bravo!

Bonjour,

Merci pour vos commentaires...

Mes amitiés...

LeCrieur...

j'aime beaucoup, tout se paye en effet même le bonheur et finalement on se noie dans l'impur ou on lâche le combat, merci beaucoup du partage


yann

merci du partage
bravo!