Imaginons l'année sans que sonne le glas, parsemée de douze mois de petits bonheurs, faisant plisser de fous rires nos pattes d'oie, et rosir nos pommettes de jolies couleurs.
Juste pendant le temps de nos quatre saisons, sans la crise due à une conjoncture, si éprouvante pour tous les échelons, en ces âpres moments de grande froidure.
Pas de nature aux folles pluies insoumises, de vents rugissant sur toute la Provence, jusqu'à déranger les cloches de l'église, de familles aux enfants privés d'insouciance.
Rien qu'un ciel bleu protégé d'une colombe, symbole d'une paix si souvent demandée, plus de guerre pour ensanglanter les tombes, mais des pays et des hommes rassemblés.
Oui, je souhaite ce que vous souhaitez à tout le monde aussi. Et, en effet, plus de guerres et de sang, c'est trop affreux. Quant à la conjoncture...Merci pour ce ravissant poème.
J'aimerais de tout mon cœur imaginer cette nouvelle année comme tu l'as si joliment décrite, hélas trop de laideur, d'ignominie, d'horreur, de tragédies et de drames m'en empêchent! Cela ne m'empêche pas de te souhaiter une bonne et heureuse année!
---------------- Ma vie n'est plus une barque dans une mer enragée Et je ne suis plus le naufragé! ............................................................................................... Mostafa, point fat, seul, las, si doux, rêvant de sa mie!!!