Pour un allemand exécuté,
on fusillait trente otages
sur la grande place du marché,
face au beffroi du village.

La peur transperçait le silence,
rompu par des hurlements fous,
n'accordant que des pénitences
et quelques prières à genoux.

L'ennemi ne comptait que les corps,
ignorant la vois des âmes,
courageuses jusque dans la mort,
après le fracas des armes.

On attendait le vrai coupable,
pour sauver tous ces innocents,
face aux bottes intraitables,
maculées de pleurs et de sang.

Aucune pitié à attendre
pour hommes, femmes et enfants,
rien que des larmes et des cendres,
par la volonté d'un tyran.

Difficile mais aujourd'hui encore des armes tues dans des pays qui ne demandent que la paix amicalement...

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Bonjour Linette, une triste réalité, hélas !

Bonsoir Linette, triste poème, tant que les hommes seront sur terre la guerre sera, hélas

Amicalement

Ne jamais oublier! Comment pourrions nous...des innocents encore et toujours de par le monde subissent d'horribles sorts, jamais cela ne cessera et jamais nos plumes cesseront!

Bravo Linette!

Eden

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Il y a des chevaux d'argent qui brillent de mille feux, lorsque s'éteint le jour, lorsque tout n'est plus bruit. Lorsque la folie anime le ciel plein d'étoiles...alors pour quelques instants, quelques instants seulement, rêvons...

terrible époque...que j'ai connue !
racontée ici avec force !
...Et ça existe..encore..

1939-1945: pour 1 allemand tué ,il y avait 30 otages assassinés .c-a -d : les représailles terribles et injustes. Ce poème nous retrace certaines horreurs de la guerre! il ne faut pas oublier cela...
Bravo pour ce poème!!!

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Hélas, cette barbarie est contemporaine aussi intraitable et tyrannique, et elle parle de guerre sainte et de martyre.
Mon amitié et une très bonne année.
Dumnac