des longueurs d'avances, comme un nageur d'Olympie,
afin d'échapper ainsi, à toutes les utopies,
des battements d'ailes qui, aident à prendre de la hauteur,
les souffles d'elle qui, assourdissent avec chaleur mon cœur!
des soleils irradiant, brusquement l'océan,
je te vois à travers lui, sous ton meilleur séant,
des gouttes bleutés qui, défient mes larmes,
face à tes yeux plus tranchant, que le fil des armes!
c'est des hauteurs de falaises abruptes, que je devine,
ce que jamais nul autre ne saura, tu es divine!
mer et mère! terre et ciel! il n'y aura pas assez d'éléments,
de passions de fusions d'unions, le temps est clément!
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