Des coups de poing, des coups de pied
Des coups pour rien à volonté,
Il hurle en lui le verbe taire en silence
En espérant que plus jamais ça recommence
Le regard écorché ruisselle
Des larmes rouges aquarelles,
Des coups de poing, des coups de pied
Des coups pour rien à volonté,
Il épouse recroquevillé ses blessures
En espérant que plus jamais cela perdure,
Les lèvres suturées vomissent
Les maux sans mots de son supplice,
L’enfant devenu grand au sein de sa maison
Offrira à son fils sans aucune raison,
Des coups de poing, des coups de pied
Pour que sa douleur ne soit jamais oubliée…..
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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***