C’est de ces silences que naissent les mots
Alors que simplement il parle aux marmots
C’est de ces silences que se disent les écorchures
A la frontière, là où son blouson cache ces blessures
Le soir venu, il s’endort seul avec les moineaux
Son nom à lui, c’est son étendard c’est Renaud
C’est de ces silences que naissent les larmes
Alors que tout simplement lui lève les armes
C’est de ces absences que se disent les fêlures
A la lisière, là où son sourire cache ces brulures
Le soir venu, il s’endort seul les larmes dans les poches
Son nom à lui, c’est sa banderole, c’est un seul cri pour les mioches
C’est de ces silences que jaillissent les flammes
Alors que tout simplement il parle des femmes
C’est de ces gerçures que se disent les drames
A la croisière, là où le vent fracasse les âmes
Le soir venu, il s’endort seul ces larmes comme dague
Son nom à lui, c’est sa bannière, c’est le vent seul sur les vagues
C’est de son absence que frémissent les maux
Alors que tout simplement il est resté un marmot
C’est dans ces silences que gémissent les moineaux dans les champs
C’est dans ces absences que frémissent les minots sous les chants
Le soir venu, il s’endort seul les larmes sur le piano
Son nom à lui, c’est Sechan, c’est mister Renaud
Le soir venu, il s’endort seul ces larmes seules dans les poches
Son prénom a lui, c’est un cri pour tous les gosses, pour nous les mioches
Il s’appelle Renaud sechan
C’est une chanson, un chant
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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann
