Les mariés quittaient l'église,
après les anneaux et la bise,
sous les regards de quelques curieux,
une grosse larme au fond des yeux.

Le prêtre récemment ordonné,
jeune frère de la mariée,
avait accordé leurs destinées,
pour la vie jusqu'à l'éternité.

Une fois son union bénie
devant la douce Vierge Marie,
le couple avait salué l'autel,
d'une génuflexion mutuelle.

Les jeunes gens vivaient leur bonheur,
chassant d'un cil les ultimes pleurs,
et ouvraient les cornets de dragées,
au grand plaisir de deux péquélets.

Une fillette au charmant minois
demanda d'une petite voix,
en leur offrant un cœur de velours,
s'ils s'aimeraient vraiment pour toujours.

Le mariage un grand jour de bonheur.....mais qui demeure une énigme pour les jours à venir....

***Dan***.....

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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***

Un jour béni et heureux mais l'avenir dira si leur union est chaque jour une bénédiction.

J'ai découvert le mot "péquélet"que je ne connaissais pas.

Merci de ce beau partage.

Bleuet