Je regarde l'air égayé, passer les années
Au pied de mon olivier,
Avec dans mes pensées, ces froufrous que j'avais côtoyés,
Toutes avaient laissé dans mon âme troublée
Des souvenirs à en noter des cahiers entiers
Maintenant au pied de mon olivier,
Je contemple ces belles effrontées,
Avec pour souvenir leurs parfums fruités,
Tout comme mon olivier,
Mes fruits se sont rarifiés
Mais j'ai plaisir avec lui de partager tous ces souvenirs,
Qui m'ont fait exister
N y voyez, mes dames, aucun regret, car ne rien oublier
Permet à tous de garder
Dans le coeur un peu de fierté.
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"