- Lettre à Romain. ( Poésie).
* A-tu senti le vent, Mon Ami, doux visage,
Venu poser sur Toi d'une main douce image
Le tendre d'une page, Ã te voir de tourments ?
J'étais assise là , dans la froidure des pierres,
Pieds de Vers posés d'aussi loin que l'enfui,
Sur l'écrit arrondi de mes cercles lunaires
Où le silence étoiles, me berçait Poésie.
Sais-tu,
Que dans ce Ciel, ma Lyre joue la Nuit,
Quand je te sais de coeur en douleurs, blessé,
Et que d'un rayon lune pour seul laissez passer,
Je visite tes sorts tremblés cordes d'oublis.
Je me souviens,
Tu sais,
Des premiers mots de larmes d'encres confidences,
Quand tu me cherchais Fée au pays de la chance
Réunissant l'enfance en décompte de faits...
Je n'oublie pas, tu sais !
Les couloirs et portes noirs en derrière s'y cacher,
Tous les traits prisonniers tirés de nos méfiances
Les poèmes joués en luths d'innocences
En des mots de confiance à bannir le passé.
Je suis de vent, de brise,
Tu me connais par coeur de m'y avoir trouvée,
Au plus nu de nous même et de nos sans chemise
Enfermés de valise verrouillée, Amitié.
Dans ton agenouillé, je salue tes combats,
La poésie, tu sais a de ces médisances !
Mais l'arrogant, Poète, jamais, il ne sera,
Quand l'humble ne suit pas le savoir d'existences.
Tu sais où me trouver ; je te quitte d'envols
Je suis d'En-Haut pressée de rejoindre mon Ciel,
Je suis juste passée plume d'encre sommeil
Consoler doux d'éveil l'Ami qui y pleurait.
Arwen/Aïna
Octobre 2014
8 Heures, d'un matin, sur la Terre.
Misère !
Ne jamais mettre à la Poésie un point.
Cela serait un tel déshonneur de phrase !
Elle a la beauté du courage,
D'un face à elle dictateur.
C'est ce qu'un " comte"
Devrait garder en Noblesse d'hauteur,
Une devise de Seigneur,
Vois-tu ?
- " Je ne conte et devise que d'émotions coeur.
Je ne veux être erreur de ce que j'improvise
Car se coudre galons sur sa propre chemise
Serait pavaner seul, Ã s'en broder meilleur. "
Ton Amie.
Tendrement à toi.
Arwen/Aïna