Ce monde paradoxal aux antipodes de chacun et de chacune.
Ce monde paradoxal aux antipodes de chacun et de chacune.
Deviner ou bien ne plus savoir que faire.
Où chercher dans sa tête : nulle part…
Ma conscience comme ma pensée divergente.
Et mon âme soutient, et excuse en vain le doute.
Oui j’aimerais comprendre ce qui m’arrive.
C’est à en devenir : chèvre ou mouton…
Dans ce monde trouble où baignent tant d’incertitudes.
Quand bien même : les réponses qui viennent…
Elles sont troublantes, et me rendent perplexes !
Je me rassure tant bien que mal.
O ni soi qui mal vé pense !
Je pense tantôt bien, tantôt mal.
Les traitres punis pareils aux espions.
Les légionnaires romains et les centurions.
C’est comme les guerres. La le plus grave !
Car la politique provoque des absurdités, des illusions.
Parfois cet ensemble se crache et rend notre esprit inquiet.
La réussite- la gloire- la victoire le transforme.
L’armée triomphaliste devient aimée et aimable.
Un seul être vous manque : et tout est dépeuplé !
Ma conscience- ma pensée à nouveau en course et en compétition.
Si je me perds dans des songes délirants : que serai-je alors ?
Que ce dormeur dans l’herbe rase, et belle…
C’est là que je réconcilierai avec moi-même.
Si ma conscience divague, j’embarquerai sur un grand navire.
Les frégates d’antan transporteront mes ardeurs lumières.
Semblables ou presque A Rimbaud. Alors : je serai bien ?
En attendant tout çà : je souhaiterais devenir, l’otage de mes poèmes.
----------------