Il y a du poison dans mes veines qui m’apporte douleur et fièvre.
Je n’ai rien compris à ton jeu, que tu étais seule à comprendre.
J’n’ai pas vu le ciel orageux, et les nuages en deux se fendre,
Il y a du poison dans je t’aime, et je l’ai goûté de tes lèvres.
J’ai comme une poignée de clous, coincée au travers de ma gorge,
Mon cœur est trempé dans l’acide et mon corps recouvert de plomb.
Je plains un peu ta vie aride, et les gens qu’t écrasent au pilon,
Un jour tu tomb’ras sur un loup, tu s’ras le mouton qu’on égorge.
Il n’y a rien de pire que l’amour
Venins plus sournois qui ne courent
Il y a pire que le désamour
Il y a …mourir d’amour.
J’ai découvert comment survivre, ailleurs qu’au centre de tes bras,
J’ai tout plaqué un beau matin, je me suis enfui au galop.
Tu m’dis que c’est du baratin, que finalement j’suis un salaud
Mais tu vois, ton cœur est de givre, j’en ai pour preuve ton mascara.
Tu vois que je ne t’oublie pas, un dernier mot pour t’dire adieu,
Car la roue tourne évidemment, et un jour la balle s’ra pour toi.
Tu recevras en châtiment mille fois plus en retour crois moi,
Quand l’Hydre prendra son repas, ses serpents mangeront tes yeux.
Il n’y a rien de pire que l’amour
Venins plus sournois qui ne courent
Il y a pire que le désamour
Il y a …mourir d’amour.
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