Toi qui à jamais pensais danser dans le vent, Si fière d’y croire, tu fredonnais ce beau chant, La paix qu’inspire l’ombre à la petite sieste, On aimait à y penser aussi avant tout le reste.
Qui l’aurait cru un jour qu’illustre serait fin ? Ce sentier où mi-parcours est heure de faim, Tous à nos habitudes des grandes racines, Nos histoires, nos rires et nos belles tartines.