Moi aussi, ça me rappelle Ouradour sur Glane. Et pourtant, j'étais petite quand je l'ai visitée mais je me rappelle très bien ce silence lourd qui planait dans cette petite ville meurtrie.
La nature y poussera aussi pour essayer de cacher un peu la bêtise humaine.
Bravo Isabelle pour ce sublime poème.
Fanny