Pluie des yeux c’est mieux
Ravale tes vœux, oublie le lieu pieux
Ici plus d’envieux, qu’ils gobent tes œufs
Jaune de mes huiles, semblant de mes gestes
Plus qu’un zeste, ma paille couve ta flamme
Moisson de toutes les saisons, je pose ma raison.

Elle fait passion au bien loin de la vitesse des avions
Je t’envole dans ses vertiges fixés
Poésie ! Je t’aime libre
Sans les attaches qui enferment mes limites
Des fois je t’imite, je singe tes singes
Eh puis lassé de tant d’inutilité…
Je m’adonne à l’absurdité
Le dire, le voir et t’entendre.

Bonsoir Tony, un écrit intéressant de par son invitation
à considérer la sauvegarde de la personnalité en poésie .

On vit dans un monde absurde, oui, je suis d'accord. Même si la poésie existe, et bien d'autres choses.

Merci.

Bonjour Tony

Et vous avez raison d'aimer la poésie tout comme les arts en général, ils sont âmes à part entière de ceux qui les créent.

Amicalement Franie

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