De mon entier, Poésie ...
Oh, Poésie,
Faut-il que sur toi d'une larme je glisse,
Tous les mots sacrifiés de ton oeil averti
Qui traduisent le fait, occasions de roulis
Comme s'il ne fallait plus de toi que j'existe !
Oh, Poésie,
Je vois et j'entends le fracas du roulis,
La mer crache éprouvantes tempêtes,
Secouant le ouaté et le doux que tu prêtes
D'une abysse plus sombre à l'y voir englouti.
Oh, Poésie,
Combien de mises à mort abritées de légendes,
Seront mots à prétendre le périple aux sorts
Quand je te vois à tort, être reniée de cendres
Et blêmir, à entendre les envers du décors !
Oh, Poésie,
Je t'aie vue pâlir à ces mots insolents,
Qui appuyaient l'accent de tous leurs divertir,
L'aigu de prétention à leurs acharnements
Qui pesait dans le ton du non dit de leurs dires.
Oh, Poésie,
Garde moi en tous lieux dans ta nature extrême,
Préserve mes poèmes, écritures, d'entiers,
Offre moi sans détour et à l'en conserver,
Une Seule Identité, née, pour dire Je t'Aime.
Arwen/Aïna
3/09/2014
- " Je t'accorde, en siècles, éternité d'Amour !
Le besoin de velours est ma joue sur tes ailes.
Tu m'as offert le Ciel, et moi, un " Je T'aime", en contour."
2 A.