Qui peut savoir où vous vous trouvez,
Mes minutes passées ?
Qui peut savoir où vous vous trouvez ?

J’ai bien peur que vous soyez
Là où les étoiles filantes sont tombées
Ô Mes minutes passées.

Si j’allume de l’encens,
Verrais-je votre visage ?
Si j’allume de l’encens ?

Vous êtes vous, mon image
Si je me penchais sur l’eau et regardais
Verrais-je votre visage ?

Sont parties toutes les beautés,
Ne reste plus que quelqu’un de flétri
Sont parties toutes les beautés !

Le jour est arrivé, l’heure a sonné, c’est finis
Donnez-moi une place parmi vous
Ne reste plus que quelqu’un de flétri...

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Tristan Le Patient
"La vie est comme un écho, elle te revient à la manière dont tu l'interpelles."

Le désespoir quand il nous tient il faut le faire fléchir, car ce n'est qu'à la dernière heure que se subit le choix

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En vérité l'art est enfermé dans la nature; celui qui peut l'en extraire, celui-là est un maître.
Albrecht Durer

http://www.edilivre.com/le-repit-du-silence-23115d53b9.html

http://nihilo1.over-blog.com/

un grand bonheur de lecture pour plusieurs raisons, le temps qui passe, la musique, le poème est brillant et musical, merci beaucoup,

Bonjour,

Merci pour vos remarques, vos conseils et vos commentaires auxquels j'adhère.

Fraternellement,

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Tristan Le Patient
"La vie est comme un écho, elle te revient à la manière dont tu l'interpelles."

Bonsoir tlp, l envergure de ces minutes passees invite a une interessante reflexion sur le fil du temps .