Sur l’île déserte où on l’on entendait des oiseaux
Affolés avec l’arrivée de deux beaux porteurs
D’une cage dorée avec une femme de grand cœur
Vêtue en blanc, jeta-t-elle sa jambe toute en haut
Elle était comme le cygne blanc au milieu d’un lac
Sous l’œil d’un pirate, son corps gracieux exprimait
La beauté et l’amour du Moyen-Orient qui aimaient
Percer le grand mystère de cette musique où craque
Dans les entrailles de sa profonde âme , cette danse
Envoûte les petits soldats et la compagne du sultan
Elle danse à petits pas sur des pointes en évitant
De froisser son corps parfumé de magnifiques essences
Sa beauté rayonne comme un lever de soleil d’Orient
Son regard illumine les yeux de ses hôtes éblouis
C’est une déesse à l’allure d’une tigresse épanouie
Oh ! Les portes de la cage se fermeront en souriant
Copyright 2014 , diffusion, enregistrement ou exploitation d’informations nominatives interdites »
Alain Janocha
Beaucoup de grâce ...
Inspiration de cette danse pour ce poème...