Acceptez ma mie vous asseoir
Sur la pierre de ce vieux puits,
Et par la grâce laissez choir
Tout le trouble de vos ennuis….
Votre beauté de porcelaine
Love l’ombre de l’olivier,
Votre fragilité me gêne
A tant subir à vous envier,
Et ma jalousie vous jalouse
Troublée par vos yeux maïoliques,
Et ma timidité épouse
En secret cette âme exotique,
Chaviré du bleu océan
Que diffuse votre regard,
Devenir maître du céans
Rêve impossible à mon égard,
Fuyez point avant de savoir,
Mes printemps ne sont pas si vieux
Gardez les cent ans en mémoire
Je reviendrai moins disgracieux…..
Ecoutez ma mie cette histoire
Sur la pierre de ce vieux puits,
Par ma laideur j’ai laissé choir
La fée troublant toutes mes nuits…..
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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***