Et si au creux de mes mains je l’avais,
Cette poignée de terre riche et fertile,
Jetée dans l’allée à même les pavés,
Le ciel, la pluie tombée, qu’en serait-il ?

Plus de feuillage, mais plus de béton froid,
Il me manque l’amour et ses craquements,
Sur le chemin, à la découverte des endroits,
Tout est indiqué et écrit, plus d’égarements…

Je ne m’arrête plus pour connaitre mon trajet,
Je relève la tête et comme tous, je les ignore,
Quitter la famille pour la solitude ombragée,
Fasciné par la lumière, je me crois plus fort…

Pourquoi attendre pour croire au meilleur ?
Le sol a chuté des mes doigts sous les averses,
Il a rejoint le contour des derniers bonheurs,
Restreint aux trottoirs où tous se déversent…

J’aimerai retrouver le temps d’insouciance,
Je m’attisais que de chaque nouvelle braise,
Où je n’étais motivé que par l’inconscience,
Vivre des surprises, bonnes ou mauvaises…

Que l’on m’indique plus la route…

LeCrieur…

Bonjour LeCrieur, un tres joli poeme !
On aurait effectivement parfois besoin que des chemins nous soient indiques pour mieux acceder au bonheur ....

"Pourquoi attendre pour croire au meilleur ?
Le sol a chuté des mes doigts sous les averses,
Il a rejoint le contour des derniers bonheurs,
Restreint aux trottoirs où tous se déversent…"

j'ai aimé te lire...

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Bonjour amis de poésie,

Je vous remercie pour vos commentaires...

Mes amitiés...

LeCrieur...