Re: Etre aimé. (A mon cousin Youcef)
On aimait à marcher sur les flancs de collines
Et aux sons des ruisseaux aux larmes cristallines,
On voyait les villages de la Kabylie
S’endormir de bien-être et de mélancolie.
Quand Youcef me priait de partager son pain,
C’était chez lui, entre des murs à nus parpaings,
Je n’avais jamais vu d’aussi pauvre masure,
Et pourtant y régnait la bonté de l’azur.
21 H. Je te te lis.
Je te lis comme je vois de toi toujours ce coeur qui écrit,
et qui ne cesse jamais de m'émouvoir tant sont beaux
les mots que tu dis....
Oui !! j'ai bien écris : que tu tu dis...
Car j'en entends de ta voix le récit,
d'un silence à un autre, je te vois, je t'écoute et je ressens
ce que ton coeur bat de mélancolie.
Très touchée par la dernières strophe.
Ton amie qui t'embrasse au plus doux de ce que je puis.
Arwen/Aïna
- " Près de l'if grandi, s'étendent de neiges les larmes glissant d'un sommet, où pleure dans le pur
d'un nuage, la mémoire d'images, que le ciel partage dans l'humble qui le suit.