Blanc
jupon
sous le vent
coquin fripon,
alors je m'approche
sous le vieux chêne vert ,
comme soleil qui ricoche
en dévoilant ton corps pubère.....
Et ma bouche cerise dessine
de tendres baisers coquelicots
sur le voile frémissant de ta poitrine
et je croque ton corps au parfum abricot,
Le vent dégrafe le secret de ton corsage
par son souffle léger ton âme frissonne,
une mer d'émotion sur ton visage
t'envahit et puis tu t'abandonnes...
Le ciel témoin plie son foulard
pour que le soleil s'exporte,
et que l'amour s'empare
de la douce accorte....
Je cède au vent
vil rapace
ma place,
ban.........
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*** Un bonheur aplanit cent malheurs ***