Quelle belle évocation de cette amitié qui tend la main!
Poème qui exprime la douleur de la solitude sans larmoyer puis arrive l'ami qui remplit l'espace de sa présence et de son attention.
J'apprécie énormément les deux derniers quatrains qui apportent de la plénitude, de la sérénité.
Mais j'aime :
"Ce soir là, le temps avait perdu ses heures,.
La brume s'installait aux yeux si torturés.
L'amertume folie dans sa morbidité
Brûlait dernière force au déni de ce leurre."
Superbe écrit Chandylane.
Amicalement
Nat
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Les haillons de l’amour ne se reprisent pas .
Nataraja.