En ce moi de juin ,le soleil éclairait le sentier,
Je me promenais ,cherchant une belle aventure ,
Pour essayer de remplir, une page de mon cahier.
Obnubiler par la beauté de la foret landaise,
Je gambadais sans même regarder ma montre,
Le temps me paraissait filer à l’anglaise.
L’humidité de ce début d’année,
Avais contribuer à l’éclosion démesurée ,
De nombreux moustique par mon sang assoiffés.
Lançant ici et là quelques claques ,
Je me sentait vraiment cibler,
Quand sur mon nez un vient se poser.
A vous amis poètes ,je laisse sans peine ,
Imaginé le reste de cette scène .
(ps je vais enfin s’avoir si vous êtes des amis)
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lagrib
"D'Amour je ne me "lace",je vais du coup tel "un va nu-pieds"