Quel habile courant-d'air-ologue
à la rime déconcertante
le vent parfois est un prologue
à une histoire désopilante
on reconnait bien votre patte
et votre poème pudeur
qui sur la dame délicate
met le regard de vos lecteurs.
évitons donc les vents coulis
recommandons à la distraite
un supplément de vos écrits
lui assurant chaude retraite.
Cordiaux compliments