Ô Ville aux milles lumières,
Ville tant révolutionnaire,
Ville de la démocratie,
Ville de la nouvelle vie,
Ville de tous les chagrins
Là où les artistes voient leur fin,
Et leurs belles inspirations.
Où les feux sont passions,
Où les Amoureux sont vrais,
Beaux et nous donnes des regrets.
Là où nos rêvent sont nés
Et là où ils vont s'achever.
Ô douce Ville de Mai,
Ton Amour tant enchanté
M'emporte loin des sanglots.
Je m'en vais dans les flots,
De la littérature et de la culture,
De l'amour et du bonheur pur
Quand je marche sur ton pavé
Me déposant devant chaque quai.
Ô Ville aux milles lumières,
Ville tant révolutionnaire,
Laisse-moi m'abriter chez toi,
Là où les écritures sont rois,
Là où les idées naissent,
Là où les cendres renaissent.
Vermouth