Tu te rappelles Monique, quand s’est rencontré;
Un certain soir, dans ton restaurant;
Toi tu étais marié, est moi célibataire;
Tu te serais vite adopté, à mon air d’Angleterre;
Chaque soir quand fermé, tu me fais visiter;
Ton appartement, et tu me douches avant de dormir;
Et encore une douche, le matin pour résister;
Et faire l’amour, encore dans la mire;
Moi j’ai de la chance, de tomber sur une patronne;
Gâter comme les gones ; mes vacances de gorgone;
Tu me donnais plus-, que l’amour de ton fils Kader;
qui était avec son père, dans le midi pour changer d’air,?
Je t’ai laissé mon cœur, pour ne pas avoir peur;
Du temps qui ne galope ni des grimât de l’hiver;
Onze mois loin de toi, je contais les heures;
Je savais qu’un jour, la liqueur débordera le verre.
Je garde toujours les souvenirs, mais je ne peux venir;
Parce que chacun de nous, Ã changer le sourire;
Notre amour était, une gratitude, un don
Nous sommes des êtres humains, demandons le pardon.
----------------
les années de disette dictent les poètes