Visage nature.
Alors que tout baignait sous l'iris grandi
Les herbes s'amusaient de leurs robes légères
Et l'on entendait l'air inspirer l'harmonie
Aux nénuphars glissant en douceur de rivière.
Tout était fluide et sain en ce corps étendu
Et le ciel d'en haut y puisait son espace
D'un nuage reflet à sa joue qui se trace
Son regard prit place sur le temps qui passait.
- " Puis-je être un "tant" à vous, ô ma muse, ma grâce,
Puis-je être au vent de vous le précieux que j'écris ?
Je serais à ce tout la pensée qui enlace
Ce que d'une "préface", l'épilogue finit.
A/Aïna
15/02/2014