Merci à tous les artistes de notre oasis
D’être inquiétés sur ma santé
Suite à mon poème (ADIEU)
Je ne suis pas malade
Ni agonisant, ni otage du vent d’âge
J’ai dédié cette accolade
À la vertu qui régnait au village
Ici les gens sont très habiles
Que soient villages arabes ou kabyles
Une fois l’humain anéanti par le destin
La famille du défunt, attisait un festin
Pour demander le pardon au créateur
Dans la maison du défunt autour d’un orateur
Il explique que tous meurent
Pauvre ou riche, l’heur c’est l’heure
Nul ne peut choisir son sort
Ni connaître la casse de son ressort
Nés pour grandir, et vieillir pour mourir
Nées poussières et retournons poussière
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les années de disette dictent les poètes