La vie me laisse un magnifique sursis,
Dès l’aube, une page blanche à remplir,
De quelques mots, de quelques souvenirs
Aux sensations qui jamais ne restent dans l’oubli
La créativité de ma plume, jamais ne se tarit,
Les ombres peuvent bien masquer mon sourire,
Les rimes se bousculent, pour s’épanouir,
Et graver mon cœur des mémoires infinies
Je laisse aller l’être profond qui chuchote et me dit :
« Le cœur est éternel et les vers immortels »,
« C’est la liberté qui s’envole à tire d’ailes, »
Et l’écume de mes rimes s’échoue sur les galets de la vie
Je laisse les mots qui s’évadent, guider mon esprit,
Et non pas mon âme survivre des maux et souffrir,
Les allées fleuries de mon jardin, des plaisirs,
Apparaissent à mes yeux, comme par magie…
Je vois les quatrains qui défilent, la page noircie,
Je ne peux endiguer ces émotions qui m’inspirent,
J’exhorte et je prie , de ces stances qui me délivrent,
La vie offre à ma plume un magnifique sursis…
