Re: Parentes.
"Le Mal existe, il est criant.
L’Amour nous dit pardonne-lui,
L’Amour, c’est l’opprimé priant
Pour son tyran, que meurt sa nuit."
J'ai ouvert ce matin mon regard sur ton poème,
apaisée de ce chant magnifique de mots et de voix cathédrale...
L'émotion dans laquelle je me suis assise dans ce silence absolu,
a envahie, en minutes, en secondes, tout mon espace.
-" L’Amour, c’est l’opprimé priant".
Ce vers ne se lit que de Grâce, tellement je le trouve grand...
Il est un mot dedans qui dépasse la force même d'un sentiment,
l'extrême échappant à tous les supplices d'un coeur s'agenouillant.
- L'Amour pardonne tout, même agonisant ; il est l'âme du vivant, tout ce que l'unique
peut porter en lui d'innocence.
Nous sommes tous parents d'une telle naissance !
Plus tard, seul le coeur fait la différence...
Je crois si tu le permets, que je vais rester un instant cacher
dans une de tes lignes blanches, pour finir de m'éveiller à ce chant sacré.
Juste un sourire, sans rien dire de plus à t'envoyer.
A/Aïna
Pour la musique, merci.