Je rêve d’un lieu où je pourrais accueillir
Tous ces hommes fatigués du poids
Que ce monde leur fait subir
Il y aurait tous ces cœurs d’enfants
Aussi beaux que le printemps
Les nuages seraient tendresse
Le vent mélodies et caresses
Il n’est peut être nulle part
Ce lieu où je pars
Je le vois loin de cette terre
Au -delà de toute frontière
sur les vagues sereines
du sommeil d’un enfant
ou sur les vastes plaines
des pensées d’une maman
Sous l’aille d’une colombe dans l’air
Dans une bulle d’oxygène en mer
Entre les lèvres d’un nouveau né
Qui aux anges sourit
Dans l’espoir qui fleurit,
sur le visage d’un patient qui renait
il existerait bien cet endroit
Quand au palais de la foi,
La paix invitera l’amour le roi
Quand L’injustice et la haine,
Seront exécutées sans peine
Sous les yeux de la vérité ..la reine
Chischi
:sourire