A la mémoire de Federico Garcia Lorca

Qui mieux que moi pourrait vous dir’
Qu’en Espagne il y eu des martyrs
Federico Garcia Lorca
Tu vois je me souviens de toi
Ils t’ont tué comme un nuisible
Mais ton Å“uvre est indestructible
Elle est grande et universelle
Quoiqu’ils fassent elle est éternelle

Même le son des mitraillettes
Ne t’a pas détourné, poète
Du chemin que tu as tracé
Dans les écrits que t’as laissés
Et si l’on chante tes poèmes
C’est qu’ils sont beaux, c’est qu’on les aime
Puisqu’ils sont gravés dans nos cœurs
Avec nos rires avec nos pleurs

Ton talent c’est une lumièr’
Qui illumine depuis hier
Jusqu’à nos jours sans défaillance
Nos espoirs et c’est notre chance
Tu restes pour nous ici-bas
La source de réels débats
Qui nous ôtent de nos tracas
Federico Garcia Lorca

ALTOFE

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Rechercher pour être libre
Le juste point d'équilibre

Bravo pour cet hommage tellement mérité.
HONORE

Un très bel hommage pour ce valereux guerrier et écrivain de talent.
Je partage tout à fait ta sympathie et ton admiration pour lui.
Merci pour ce magnifique partage.
Mon amitié.

Capricorne

Le vers, tige de la reconnaissance
S'affiche ici dans sa magnificence.
Amicalement. GUY

Merci pour cette poésie en l'honneur de ce grand poète révolutionnaire. C'était un grand homme ..

fraternellement,

Basile Béranger Chaleil

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Basile Béranger Chaleil

Beau portrait de ce poète qui a dit "si je meurt laissez le fenestre ouverte"

j'apprecie aussi tes autres poèmes

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:Le crocodile amorphe aux levres de corail descend sans se presser la rue de montmirail




http://snoopymouette.skyblog.com

Un bel hommage , j'ai toujours à mes oreilles la chanson de Ferrat .

Jean-Pierre

¡Le han matado! ¡A Federico! ¡Le han matado! ¡Cabrones! ¡Salid y dad la cara! ¿Quiénes de vosotros habéis sido? Estáis ahí, escuchando al otro lado de las ventanas. Diréis que os desperté de la siesta y que así es como os habéis enterado de lo ocurrido. Pero habéis sido vosotros, ¡esos que ahora me estáis mirando entre visillos sucios y viejos! Os lo llevasteis ayer a escondidas porque así es como actuáis los delincuentes. Y en la negrura a él y a los otros les fusilasteis, les disparasteis hasta matarles. ¿Por qué? ¿Qué os hicieron?

¡Le han matado! ¡A Federico! ¡Le han matado! ¡Cabrones! ¡Salid y dad la cara! ¿Quiénes de vosotros habéis sido? Estáis ahí, escuchando al otro lado de las ventanas. Diréis que os desperté de la siesta y que así es como os habéis enterado de lo ocurrido. Pero habéis sido vosotros, ¡esos que ahora me estáis mirando entre visillos sucios y viejos! Os lo llevasteis ayer a escondidas porque así es como actuáis los delincuentes. Y en la negrura a él y a los otros les fusilasteis, les disparasteis hasta matarles. ¿Por qué? ¿Qué os hicieron?