Ce sont pourtant toujours les mêmes spectateurs
Qui imploraient César d’achever un vieux lion
Et demandaient la mort du dernier gladiateur
Qui contestent aujourd’hui le plus beau des Ippons.

C’est la même femme qui conspue son mari
En accusant le sort tout en criant bien fort
Que le Keikoku était un Wazaari
Et que l’arbitre à tort et mérite la mort.

Ce sont sûrement ces chérubins sans soucis
Qui attendent le soir pour aller au méchoui
Qui approuvent un Yuko tout autant qu’un Choui.

Ils ne changeront plus ni de corps ni d’esprit
Mais combattants ou pas, contents dans tout les cas,
Ils participeront jusqu’au dernier Koka.



Depuis que j'ai écrit cela, le règlement à changer et donc le texte perd un peu de son sens, mais pourquoi pas vous faire partager ces quelques lignes...

oui j'aurais aimé savoir ce que tu vises parce que je n'ai rien entendu sur le sujet dernièrement (je n'écoute pas beaucoup les infos je le reconnais)

Bonjour Nicolas,

T'avouer que je t'ai lu mais n'est pas tout compris ...

J'ai du rater un épisode à ce combat pourtant écrit en mots réguliers

et sûrs.

( Sourire) et merci et surtout désolée pour ce commentaire si mal

approprié qui n'avait pour objectif que de te faire savoir que j'étais

passée pour te lire.

Mon amitié.

A/Aïna

Merci, mais c'est un vieux poème.
J'essaie de dire que les spectateurs ne sont pas toujours fair-play.