Maître, un jour tu as frappé à ma porte,
Jamais surprise me fut ainsi de la sorte,
Je n'avais jamais ouvert celle de devant,
Moi qui passais par derrière tout le temps.

Et comme tant de pièces plus explorées,
J'avais égaré depuis longtemps mes clefs,
Mais après un faible "Oui", elle s'ouvrit,
La condamnée enfin ouverte pour la vie.

Maître, je n'ai pas su et je n'ai que scellé,
Alors que la simplicité me l'avait décelé,
Tu me l'avais dit, parfois un rideau suffit,
Plutôt que poignée, serrures et défis...

Et comme tant de chambres à l'abandon,
Oubliées pour me perdre dans la maison,
La principale dans le hall de mon espoir,
Mes larmes et ma joie enfin d'en entrevoir.

Puis,

Ta venue a continué de dégager mes issus,
Car mes entrées et accès étaient mon salut,
Je t'ai demandé alors l'origine du trousseau,
Mais il n'y en avait point, c'était juste un mot...

Ton propre nom, maître, mon "Évidence",
La vie m'a trop rapproché de l'arrogance,
Penser sans convoiter et simplement vivre,
Ta présence, ma paix enfin tu me délivres...

LeCrieur...

un joli moment de lecture merci pour le partage

s'ouvrir ... libérer son âme des maux ...
merci Allan

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C'est beau d'être seul(e).
Être seul(e)ne signifie pas être solitaire.
Cela signifie que l'esprit ne vit pas sous influence et qu'il n'est pas pollué
par la société.
[Jiddu Krishnamurti]

yohann

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la nostalgie est un bouquet de fleurs enfoui au fond de votre coeur ,
qui vous embaume quand remontent les souvenirs du bonheur ,
yohann

Le Maître t'endend
De tes profondeurs
Il t'a donné la clef qui défie le temps
Et ouvre l'amour à ton coeur
Bises Allan

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Amicalement Alanna

Bonjour à vous...

Je vous remercie pour vos commentaires...

Mes amitiés....

LeCrieur....