Les premières rafales
Annonçant la tempête,
De forces inégales
Lui font plier la tête.
Le géant qui sommeil
Sous les premiers frissons
Ouvre un œil, et s'éveille
En scrutant l'horizon.
Il ouvre grand ses bras,
et devant la menace,
Se prépare au combat
Redressant sa carcasse.
Cent ans de solitude
A affronter le froid,
Noroits et vents du sud,
Sur, il ne pliera pas.
Mais les vents ont forci,
Sous les coups de butoirs
Il craque et il fléchit
S'accrochant à sa gloire.
Des joutes ancestrales,
Il na de souvenirs,
Que pareilles rafales
On est pu lui offrir.
Éole est en colère,
Il Souffle encore plus fort,
Cette fois l'adversaire
A programmé sa mort.
Le colosse chancelle,
vacille, et puis s'effondre,
Il était bien mortelle
Ça, je peux en répondre.
Qui que vous soyez,
Quand votre heure est venue,
Géants ou farfadets,
Lutter est superflus
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