CHAGRIN
Elle pleure comme une fontaine
Là , juste à l’ombre des troènes
Larmes noyées sous son chagrin
Comme rangées dans un écrin
Qui consolera l’étrangère
Assise là sur cette pierre
A se morfondre et à attendre
Celui qui pourra la comprendre
Désespérée elle sanglote
En espérant cet antidote
Qui viendra lui prendre la main
Pour de bien meilleur lendemain
En passant devant ces troènes
Je revois toujours cette scène
Anoblie de cette richesse
Qui n’appartient qu’à la jeunesse
ALTOFE
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Le juste point d'équilibre