Le silence crée un bruit,
sourd et incessant
Les ondes se multiplient,
dans un brouhaha palpitant
Un drôle de sonnerie,
n’étonne aucun passant
Dans des ruelles vides de mépris,
comme un cri que personne n’entend !

Le vent soudain combat cette injustice,
entrant dans les branches d’un if
Où les feuilles immortelles comme factice,
résonnent et cassent par un son furtif
Le silence, sa froideur et sa matrice,
transportant cet écho loin vers les massifs
En terminant sa course sur la joue de mon fils…

:-)

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:-D lambda :-(

Un bien beau poème que j'ai aimé lire.

Bisous

le silence, hélas, n'a pas existé, n'existe pas et n'existerai jamais.

lendarque

très joli poème quoi qu'un peu triste !

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Les amis sont comme les anges qui nous soulèvent lorsque nos ailes ne savent plus comment voler

merci à vous trois pour vos commentaires...j'ai un secret à vous confier...J'ai peur du silence....gros bibisous :-) :-(

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:-D lambda :-(